3 questions à Sandrine Laverrière, présidente de l’APEL Notre-Dame du Mas

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En ce début d’année et à la grande satisfaction de l’équipe de Sandrine Laverrière, de nouveaux parents ont rejoint l’association qui s’occupe de l’école et du collège. Rencontre avec la présidente.
Sandrine Laverrière, Présidente de l'APEL
Quel est le rôle de l’association ?

Les parents qui inscrivent leur enfant dans l’établissement sont une composante de la communauté éducative et, en ce sens, ils doivent être étroitement associés à la vie de l’établissement. Nous soutenons financièrement des actions éducatives proposées par l’école, et avons également un rôle d’animation et de soutien auprès des familles.

Nous sommes riches de nos diversités et créons du lien social précieux aussi bien pour nous que pour nos enfants.

Quels sont les projets pour l’année 2012-2013 ?

Grâce au dynamisme des enseignants et de l’équipe de direction (Marie-Christine Collin et Christophe Audard), ils sont nombreux et nous allons avoir de l’ouvrage !

En effet, des voyages (Bretagne, Angleterre…) sont à l’ordre du jour et nous souhaitons que chaque enfant puisse y participer, d’où une réflexion pour des animations pouvant nous rapporter un peu d’argent. Et puis, il y a bien sûr les actions régulières (photos de classes, vente de tabliers, de lumignons, soirées à thème…) qui aident au financement de sorties ou d’interventions diverses. Enfin, l’équipement en TBI (tableaux blancs interactifs) est à l’ordre du jour et nous sommes associés au projet d’extension de l’établissement (nouvelles classes, optimisation des locaux actuels et réaménagement de la cour de l’école).

Vous avez un autre grand projet au programme…

Oui, nous aimerions que les collégiens de 3 e quittent l’établissement avec leur PSC1 (Attestation de formation aux premiers secours). C’est un vrai challenge mais je crois que nous réussirons grâce à différents soutiens espérés (conseil général….). Je pense que c’est un cadeau précieux que nous ferons aux jeunes pour leur nouvelle vie de lycéen et ils sont d’ailleurs très demandeurs.

Interview et photo : Chantal Daspres